Le gouvernement allemand veut organiser cette semaine une réunion à Berlin avec un membre du conseil d'administration du constructeur américain General Motors à propos de l'avenir toujours incertain de la marque Opel.
"Notre objectif est d'organiser cette semaine une réunion à Berlin avec un représentant du conseil d'administration de General Motors", a dit M. Wilhelm lors d'une conférence de presse. Il a précisé que cette réunion serait menée par le groupe de travail (Opel Task Force) mis en place par le gouvernement allemand pour négocier dans le dossier Opel, et qui est mené par un secrétaire d'Etat. M. Wilhelm a rappelé qu'"une décision ne pouvait être que commune", car si General Motors reste propriétaire, aucune vente n'est possible sans l'apport d'aides publiques par l'Allemagne.
Le constructeur de Detroit, qui a réuni vendredi son conseil d'administration par téléphone, n'a pas tranché comme l'espérait Berlin entre les deux candidats à la reprise d'Opel. Il s'agit de l'équipementier canadien Magna, adossé à la banque russe Sberbank et soutenu par les Allemands, et du fonds d'investissement belge RHJ International, favoris de GM.
La chancelière Angela Merkel, qui a fait d'Opel un dossier prioritaire à six semaines des élections législatives, n'a pas caché son impatience : "Il est urgent pour les salariés et pour la situation économique chez Opel que l'on ait une décision (...) Le plus tôt sera le mieux (...) J'espère que ce sera la semaine prochaine. Chaque jour compte", a-t-elle dit ce week-end sur la chaîne de télévision ZDF.
"Notre objectif est d'organiser cette semaine une réunion à Berlin avec un représentant du conseil d'administration de General Motors", a dit M. Wilhelm lors d'une conférence de presse. Il a précisé que cette réunion serait menée par le groupe de travail (Opel Task Force) mis en place par le gouvernement allemand pour négocier dans le dossier Opel, et qui est mené par un secrétaire d'Etat. M. Wilhelm a rappelé qu'"une décision ne pouvait être que commune", car si General Motors reste propriétaire, aucune vente n'est possible sans l'apport d'aides publiques par l'Allemagne.
Le constructeur de Detroit, qui a réuni vendredi son conseil d'administration par téléphone, n'a pas tranché comme l'espérait Berlin entre les deux candidats à la reprise d'Opel. Il s'agit de l'équipementier canadien Magna, adossé à la banque russe Sberbank et soutenu par les Allemands, et du fonds d'investissement belge RHJ International, favoris de GM.
La chancelière Angela Merkel, qui a fait d'Opel un dossier prioritaire à six semaines des élections législatives, n'a pas caché son impatience : "Il est urgent pour les salariés et pour la situation économique chez Opel que l'on ait une décision (...) Le plus tôt sera le mieux (...) J'espère que ce sera la semaine prochaine. Chaque jour compte", a-t-elle dit ce week-end sur la chaîne de télévision ZDF.
Source : RTLinfo
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