Des rumeurs annonçaient que, finalement, GM n'allait pas vendre Opel, et Vauxhall. Mais le constructeur américain à contredit cette information.
Selon le Wall Street Journal, General Motors pourrait décider de ne pas vendre du tout l'allemand Opel et sa jumelle britannique Vauxhall, une information qui avait suscité l'indignation en Allemagne. Le gouvernement allemand fait en effet pression depuis des mois pour une vente à l'équipementier canadien Magna, soutenu par la banque russe Sberbank. Un autre repreneur potentiel est en lice, le fonds belge RHJ, qui a les faveurs de GM.
Le groupe américain a cependant contredit l'annonce selon laquelle il garderait finalement Opel et Vauxhall. Ainsi, la direction du constructeur américain "a clairement indiqué qu'elle était toujours intéressée par la recherche d'un investisseur pour Opel". General Motors aurait "encore un besoin d'information important", ce qui laisse entendre que le sort de la filiale ne sera pas scellé rapidement.
Une rencontre a eu lieu mardi après-midi à Berlin entre le gouvernement allemand et le vice-président de General Motors John Smith, négociateur en chef sur l'avenir d'Opel. La chancelière conservatrice Angela Merkel, en pleine campagne pour sa réélection, a fait d'Opel et de ses quelque 25 000 salariés en Allemagne un dossier-clé. L'Allemagne s'est déjà engagée à financer un rachat de la filiale de GM par Magna.
Selon le Wall Street Journal, General Motors pourrait décider de ne pas vendre du tout l'allemand Opel et sa jumelle britannique Vauxhall, une information qui avait suscité l'indignation en Allemagne. Le gouvernement allemand fait en effet pression depuis des mois pour une vente à l'équipementier canadien Magna, soutenu par la banque russe Sberbank. Un autre repreneur potentiel est en lice, le fonds belge RHJ, qui a les faveurs de GM.
Le groupe américain a cependant contredit l'annonce selon laquelle il garderait finalement Opel et Vauxhall. Ainsi, la direction du constructeur américain "a clairement indiqué qu'elle était toujours intéressée par la recherche d'un investisseur pour Opel". General Motors aurait "encore un besoin d'information important", ce qui laisse entendre que le sort de la filiale ne sera pas scellé rapidement.
Une rencontre a eu lieu mardi après-midi à Berlin entre le gouvernement allemand et le vice-président de General Motors John Smith, négociateur en chef sur l'avenir d'Opel. La chancelière conservatrice Angela Merkel, en pleine campagne pour sa réélection, a fait d'Opel et de ses quelque 25 000 salariés en Allemagne un dossier-clé. L'Allemagne s'est déjà engagée à financer un rachat de la filiale de GM par Magna.
Source : GM
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