L'équipementier canadien Magna prévoit de supprimer 4 500 emplois en Allemagne chez le contructeur automobile Opel, qu'il va racheter, et 10 500 au total en Europe.
Le groupe Magna avait indiqué qu'il pourrait supprimer environ 10 000 des 50 000 emplois des anciennes filiales européennes de General Motors, l'allemande Opel et la britannique Vauxhall, dont il doit racheter 55 % des parts à GM. La moitié des 50 000 emplois d'Opel/Vauxhall sont en Allemagne, dans quatre usines Opel à Rüsselsheim, Bochum, Kaiserslautern et Eisenach.
Pour l'instant, Magna a annoncé son intention de fermer progressivement l'usine Opel d'Anvers, en Belgique, qui emploie 2 300 personnes. L'Allemagne s'inquiète de savoir à combien va s'élever chez elle la facture sociale, tout comme l'Espagne qui craint de perdre 1 700 emplois sur 7 000 dans l'usine Opel de Figueruelas près de Saragosse, ou encore la Grande-Bretagne et la Pologne qui redoutent elles aussi des coupes sévères.
Le groupe Magna avait indiqué qu'il pourrait supprimer environ 10 000 des 50 000 emplois des anciennes filiales européennes de General Motors, l'allemande Opel et la britannique Vauxhall, dont il doit racheter 55 % des parts à GM. La moitié des 50 000 emplois d'Opel/Vauxhall sont en Allemagne, dans quatre usines Opel à Rüsselsheim, Bochum, Kaiserslautern et Eisenach.
Pour l'instant, Magna a annoncé son intention de fermer progressivement l'usine Opel d'Anvers, en Belgique, qui emploie 2 300 personnes. L'Allemagne s'inquiète de savoir à combien va s'élever chez elle la facture sociale, tout comme l'Espagne qui craint de perdre 1 700 emplois sur 7 000 dans l'usine Opel de Figueruelas près de Saragosse, ou encore la Grande-Bretagne et la Pologne qui redoutent elles aussi des coupes sévères.
Source: AFP
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