L'équipementier Magna, qui va prendre le contrôle du constructeur européen Opel en consortium avec la banque russe Sberbank, veut supprimer 10 952 emplois sur 45 730 en Europe dont plus de 4 000 en Allemagne.
D'après un plan stratégique détaillé de Magna, l'usine d'Anvers serait effectivement condamnée. Au total, 4 116 emplois (3 300 dans les usines et 800 dans l'administration) seront supprimés en Allemagne, où travaillent prés de 24 700 salariés d'Opel. Le site de Bochum sera le plus touché avec 2 191 emplois supprimés pour cause de délocalisation vers l'Autriche.
Après l'Allemagne, le pays européen le plus touché sera la Belgique, où l'usine d'Anvers, qui emploie 2 517 salariés, devrait être fermée. Viennent ensuite l'Espagne, avec 2 090 postes menacés, la Grande-Bretagne où Opel est présent sous la marque Vauxhall, avec 1 373 emplois supprimés, puis la Pologne où 437 salariés risquent le chômage.
D'après un plan stratégique détaillé de Magna, l'usine d'Anvers serait effectivement condamnée. Au total, 4 116 emplois (3 300 dans les usines et 800 dans l'administration) seront supprimés en Allemagne, où travaillent prés de 24 700 salariés d'Opel. Le site de Bochum sera le plus touché avec 2 191 emplois supprimés pour cause de délocalisation vers l'Autriche.
Après l'Allemagne, le pays européen le plus touché sera la Belgique, où l'usine d'Anvers, qui emploie 2 517 salariés, devrait être fermée. Viennent ensuite l'Espagne, avec 2 090 postes menacés, la Grande-Bretagne où Opel est présent sous la marque Vauxhall, avec 1 373 emplois supprimés, puis la Pologne où 437 salariés risquent le chômage.
Source: RTBF
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