Le constructeur français aurait l'intention d'arrêter progressivement la production de son petit monospace 1007, et ce, d'ici novembre prochain.
Arrivé sur le marché des minispaces en avril 2005, le 1007 était un peu comme un OVNI parmi ses frères avec son style dynamique, assez peu courant dans la catégorie, mais surtout à cause de ses portes coulissantes électriques, lentes, lourdes et onéreuses. Ce qui a d'ailleurs rebuté plus d'un à acquérir ce monospace urbain. Pour l'anectode, les portes s'entrouvraient même au car wash (!), les rouleaux accrochant les poignée! Dingue! Peugeot avait même dû ajouter une note d'information, afin d'inciter le conducteur à verrouiller celles-ci, sur le pare-soleil... Les autres défauts de cette Française étaient son prix (beaucoup trop élevé) et l'absence de moteurs correctes sous son capot, ce qui lui a définitivement supprimer tout espoirs de réussites...
Annoncé à 130 000 unités en année pleine, il n'aura finalement trouvé que 50 000 acheteurs la première année, 35 000 la seconde, pour s'essoufler véritablement à 11 000 exemplaires écoulés en 2008. Aujourd'hui, l'usine de Poissy ne produit plus que trente 1007 par jour. Bref, les portes "Sesame" du 1007 n'ont pas du tout permit à Peugeot d'entrer dans le segment des minispaces, un marché qui aurait pu ressembler à une véritable caverne d'Ali Babba pour la marque...
Peugeot pourra cependant se consoler en sachant qu'il n'est pas le seul à avoir échoué dans ce segment. Fiat et Renault n'ont également pas fait long feu avec leur Idea et Modus, ce dernier étant curieusement toujours proposé au catalogue de la marque française... A contrario, certains ont le sourire, comme Opel avec son Meriva et, dans la partie premium du segment, Lancia avec son Musa (son deuxième modèle le plus vendu) et Mercedes avec sa Classe A.
Aujourd'hui, le site de Poissy où était produit le minispace Peugeot devrait rrecevoir à la place les nouvelles Citroën C3 et DS3.
Arrivé sur le marché des minispaces en avril 2005, le 1007 était un peu comme un OVNI parmi ses frères avec son style dynamique, assez peu courant dans la catégorie, mais surtout à cause de ses portes coulissantes électriques, lentes, lourdes et onéreuses. Ce qui a d'ailleurs rebuté plus d'un à acquérir ce monospace urbain. Pour l'anectode, les portes s'entrouvraient même au car wash (!), les rouleaux accrochant les poignée! Dingue! Peugeot avait même dû ajouter une note d'information, afin d'inciter le conducteur à verrouiller celles-ci, sur le pare-soleil... Les autres défauts de cette Française étaient son prix (beaucoup trop élevé) et l'absence de moteurs correctes sous son capot, ce qui lui a définitivement supprimer tout espoirs de réussites...
Annoncé à 130 000 unités en année pleine, il n'aura finalement trouvé que 50 000 acheteurs la première année, 35 000 la seconde, pour s'essoufler véritablement à 11 000 exemplaires écoulés en 2008. Aujourd'hui, l'usine de Poissy ne produit plus que trente 1007 par jour. Bref, les portes "Sesame" du 1007 n'ont pas du tout permit à Peugeot d'entrer dans le segment des minispaces, un marché qui aurait pu ressembler à une véritable caverne d'Ali Babba pour la marque...
Peugeot pourra cependant se consoler en sachant qu'il n'est pas le seul à avoir échoué dans ce segment. Fiat et Renault n'ont également pas fait long feu avec leur Idea et Modus, ce dernier étant curieusement toujours proposé au catalogue de la marque française... A contrario, certains ont le sourire, comme Opel avec son Meriva et, dans la partie premium du segment, Lancia avec son Musa (son deuxième modèle le plus vendu) et Mercedes avec sa Classe A.
Aujourd'hui, le site de Poissy où était produit le minispace Peugeot devrait rrecevoir à la place les nouvelles Citroën C3 et DS3.
Source: challenges.fr
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