Le constructeur automobile français Renault a relancé mardi son pari sur l'Espagne où il fabriquera deux nouveaux modèles, dont un électrique, au grand soulagement des travailleurs et du gouvernement espagnol confronté à une conjoncture difficile.
"Nous allons construire à Valladolid une petit véhicule électrique en 2011, un moteur économique en 2012, et un véhicule traditionnel à partir de 2013", a déclaré le président de Renault en Espagne, Jean-Pierre Laurent, à Valladolid, où le groupe, numéro un des ventes dans le pays, possède deux usines.
Le chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero et le ministre de l'Industrie Miguel Sebastian s'étaient déplacés à Valladolid pour ce coup d'envoi donné à la construction de voitures électriques en Espagne. "Aujourd'hui est un grand jour pour l'industrie automobile, Valladolid, la région, et surtout les travailleurs", s'est réjoui M. Zapatero, tandis que M. Sebastian se félicitait de "la première annonce de fabrication massive d'une voiture électrique en Espagne".
Cela assure l'avenir des usines de Valladolid, qui emploient environ 5 000 personnes, pendant dix ans, a commenté M. Sebastian, évoquant aussi les 30 000 emplois indirects concernés. Renault s'est tout de même montré plus prudent, affirmant que ce plan, une fois entré en vigueur entre 2011 et 2013, garantira cinq ans d'activité. Le groupe emploie au total environ 10 000 personnes en Espagne et a deux autres usines, une à Palencia et une à Séville.
Le plan industriel représente un investissement global d'environ 500 millions d'euros sur quatre ans, selon le ministre de l'Industrie. Renault n'a pas confirmé ce chiffre, mais précisé qu'environ 20 % de l'investissement sera public, réparti entre gouvernement central et région.
En 2013, l'usine de Valladolid aura une production de 100 000 véhicules par an, dont 20 000 électriques, affirme M. Sebastian.
"Nous allons construire à Valladolid une petit véhicule électrique en 2011, un moteur économique en 2012, et un véhicule traditionnel à partir de 2013", a déclaré le président de Renault en Espagne, Jean-Pierre Laurent, à Valladolid, où le groupe, numéro un des ventes dans le pays, possède deux usines.
Le chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero et le ministre de l'Industrie Miguel Sebastian s'étaient déplacés à Valladolid pour ce coup d'envoi donné à la construction de voitures électriques en Espagne. "Aujourd'hui est un grand jour pour l'industrie automobile, Valladolid, la région, et surtout les travailleurs", s'est réjoui M. Zapatero, tandis que M. Sebastian se félicitait de "la première annonce de fabrication massive d'une voiture électrique en Espagne".
Cela assure l'avenir des usines de Valladolid, qui emploient environ 5 000 personnes, pendant dix ans, a commenté M. Sebastian, évoquant aussi les 30 000 emplois indirects concernés. Renault s'est tout de même montré plus prudent, affirmant que ce plan, une fois entré en vigueur entre 2011 et 2013, garantira cinq ans d'activité. Le groupe emploie au total environ 10 000 personnes en Espagne et a deux autres usines, une à Palencia et une à Séville.
Le plan industriel représente un investissement global d'environ 500 millions d'euros sur quatre ans, selon le ministre de l'Industrie. Renault n'a pas confirmé ce chiffre, mais précisé qu'environ 20 % de l'investissement sera public, réparti entre gouvernement central et région.
En 2013, l'usine de Valladolid aura une production de 100 000 véhicules par an, dont 20 000 électriques, affirme M. Sebastian.
Source: Renault
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