Le groupe General Motors a décidé de ne plus se séparer d'Opel. On ne sait pas encore si cette décision sera favorable au site d'Anvers, depuis longtemps condamné par GM et par les anciens racheteurs, Magna.
"Vu l'amélioration de l'environnement pour GM ces derniers mois et étant donné l'importance d'Opel/Vauxhall pour la stratégie internationale de GM, le conseil d'administration a décidé de conserver Opel et va engager une restructuration de ses opérations en Europe le plus rapidement possible", a expliqué le groupe dans un communiqué.
Le constructeur va "rapidement présenter son plan de restructuration en Allemagne et aux gouvernements concernés et espère qu'ils l'accueilleront favorablement", a ajouté Fritz Henderson, directeur général du groupe.
"Nous comprenons que la complexité et la lenteur de ce processus ont été épuisantes pour tous ceux qui étaient partie prenante. Mais depuis le début, notre but a été d'assurer la meilleure solution à long terme pour nos clients, employés, fournisseurs et revendeurs", a-t-il ajouté. La solution finalement choisie a été jugée "la plus stable et la moins coûteuse pour assurer l'avenir d'Opel/Vauxhall à long terme", a-t-il poursuivi. GM a annoncé que la restructuration envisagée coûterait environ 3 milliards d'euros.
Le Trésor américain a aussitôt affirmé que le constructeur avait décidé seul de garder sa filiale allemande, sans aucune intervention de l'Etat fédéral, qui est son premier actionnaire. "Le gouvernement n'a pas été impliqué dans cette décision, qui a été prise par le conseil d'administration de GM", a indiqué une porte-parole, Meg Reilly. L'Etat américain détient plus de 60 % du capital de GM mais assure régulièrement ne pas s'immiscer dans la gestion quotidienne de l'entreprise.
Le groupe a annoncé qu'il souhaitait désormais conserver Opel le jour même d'une visite aux Etats-Unis de la chancelière allemande Angela Merkel, qui s'était fortement engagée en faveur de la cession d'Opel à Magna. "Je suis consterné et en même temps énervé, que les mois d'efforts pour trouver la meilleure solution possible pour Opel aient échoué à cause de General Motors", a déclaré le chef du gouvernement régional de Hesse, où se trouve l'usine Opel de Rüsselsheim, immédiatement après l'annonce de GM. "En raison des mauvaises expériences des dernières années avec la politique d'entreprise de GM, je me fais beaucoup de souci pour l'avenir de l'entreprise et de ses salariés", a-t-il ajouté.
Le constructeur va "rapidement présenter son plan de restructuration en Allemagne et aux gouvernements concernés et espère qu'ils l'accueilleront favorablement", a ajouté Fritz Henderson, directeur général du groupe.
"Nous comprenons que la complexité et la lenteur de ce processus ont été épuisantes pour tous ceux qui étaient partie prenante. Mais depuis le début, notre but a été d'assurer la meilleure solution à long terme pour nos clients, employés, fournisseurs et revendeurs", a-t-il ajouté. La solution finalement choisie a été jugée "la plus stable et la moins coûteuse pour assurer l'avenir d'Opel/Vauxhall à long terme", a-t-il poursuivi. GM a annoncé que la restructuration envisagée coûterait environ 3 milliards d'euros.
Le Trésor américain a aussitôt affirmé que le constructeur avait décidé seul de garder sa filiale allemande, sans aucune intervention de l'Etat fédéral, qui est son premier actionnaire. "Le gouvernement n'a pas été impliqué dans cette décision, qui a été prise par le conseil d'administration de GM", a indiqué une porte-parole, Meg Reilly. L'Etat américain détient plus de 60 % du capital de GM mais assure régulièrement ne pas s'immiscer dans la gestion quotidienne de l'entreprise.
Le groupe a annoncé qu'il souhaitait désormais conserver Opel le jour même d'une visite aux Etats-Unis de la chancelière allemande Angela Merkel, qui s'était fortement engagée en faveur de la cession d'Opel à Magna. "Je suis consterné et en même temps énervé, que les mois d'efforts pour trouver la meilleure solution possible pour Opel aient échoué à cause de General Motors", a déclaré le chef du gouvernement régional de Hesse, où se trouve l'usine Opel de Rüsselsheim, immédiatement après l'annonce de GM. "En raison des mauvaises expériences des dernières années avec la politique d'entreprise de GM, je me fais beaucoup de souci pour l'avenir de l'entreprise et de ses salariés", a-t-il ajouté.
Source: GM & AFP
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